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Le 11 janvier 2020, les autorités sanitaires chinoises annoncèrent le décès d'un homme de 61 ans à Wuhan provoqué par un nouveau type de coronavirus. De nombreux spécialistes, dont les conseillers gouvernementaux, craignaient alors une épidémie semblable à celle du SARS en 2002. Mais malheureusement, ils étaient également nombreux à ne pas considérer le virus comme une réelle menace, à l’instar de personnalités importantes et de décideurs clés dans le monde entier.
Il est étonnant de constater que certains continuent à douter plus de 16 mois plus tard. La division et les désaccords n'ont jamais été autant d'actualité ! Les experts en virologie, épidémiologie et maladies infectieuses doivent ainsi se battre contre les auteurs de désinformations et autre conspirationnistes dont la seule expertise se base sur un compte Twitter et qui se cachent derrière une fausse photo de profil.
Les bouleversantes statistiques relayées chaque jour par la presse devraient suffire à faire taire les plus septiques, mais ils persistent. Pourtant, depuis ce jour de janvier 2020, la vie a changé de manière inimaginable. Avec plus de 114 millions de cas confirmés et 2,5 millions de morts au début du mois de mars 2021, la pandémie de la COVID-19 est une véritable catastrophe à l'échelle internationale. Le pire est-il derrière nous ? Les confinements et programmes de vaccination ont certainement permis de ralentir la propagation de la COVID-19 dans certains pays, mais il peut être un peu prématuré de penser que la pandémie va bientôt se terminer.
Tant qu'aucune équipe scientifique internationale n'aura pu effectuer une enquête complète pour déterminer le déroulement des faits, il est impossible d’affirmer que le virus s'est échappé d'un laboratoire. Et il n'a pas non plus été conçu comme une arme biologique ! Nous savons également que les vaccinations vont permettre de renverser la vapeur. En France, la vaccination contre la COVID-19 est ainsi déployée depuis le 27 décembre 2020.
Pour l’épidémiologiste et directeur de l’institut de veille sanitaire en Angleterre, Chris Whitty, la pandémie nous a montré à quel point le port du masque est essentiel pour réduire la propagation des gouttelettes de virus projetées dans l'air ambiant par des personnes qui toussent, éternuent et parlent. C’est pourquoi de plus en plus de gouvernements du monde entier se sont mis à recommander le port du masque pendant les 6 premiers mois de la pandémie.
Le port du masque a ensuite été rendu obligatoire dans les transports publics, les magasins et les supermarchés. Les règles de distanciation sociale ont également aidé à empêcher la propagation de l'infection, mais elles n’ont pas été suffisantes ! En effet, les recherches ont montré que les plus petites particules peuvent se propager plus loin et rester en suspension dans l'air beaucoup plus longtemps qu'on ne le pensait auparavant.
L'hygiène de l'air est donc un facteur crucial pour la protection des personnes dans les environnements intérieurs et devrait faire partie des mesures prises par les entreprises pour prévenir la transmission de la COVID-19. De la même manière, l'hygiène des mains est l'un des principaux axes de la prévention des infections, car elle permet d’empêcher la transmission d’une personne à l’autre via les mains et les surfaces contaminées.
Les surfaces fréquemment touchées peuvent rapidement être contaminées si aucune mesure n'est prise. C'est pourquoi chaque zone d'une entreprise doit être régulièrement désinfectée et nettoyée en profondeur.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande de se laver soigneusement les mains avec de l'eau et du savon pendant au moins 20 secondes avant de les rincer et de les sécher. Et lorsque les installations pour le lavage des mains ne sont pas disponibles, il est recommandé d'utiliser un désinfectant pour les mains.
Selon le cabinet de conseil américain Arizton Advisory and Intelligence, moins de 3 milliards de litres de produits de désinfection pour les mains étaient produits chaque année dans le monde avant l’apparition de la COVID-19. Au début de la pandémie, l'OMS prévoyait que les professionnels de la santé auraient besoin chaque mois de 2,9 milliards de litres produits de désinfection pour les mains, soit près de 35 milliards de litres chaque année !
Dans un tel contexte, la demande de produit de désinfection des mains est devenue supérieure à l'offre, ce qui a provoqué la vente et la distribution de millions de produits contrefaits et dangereux. Quels sont les produits les plus efficaces ? Les désinfectants pour les mains éliminent les bactéries en s'attaquant à la membrane des cellules. Leur pourcentage d'alcool est alors déterminant : les produits contenant moins de 60 % d'alcool seront moins efficaces pour éliminer les micro-organismes et vont simplement réduire leur croissance.
Les produits de désinfection des mains qui ne sont pas à base d'alcool contiennent souvent du chlorure de benzalkonium ou de la chlorhexidine. Ils peuvent être plus efficaces que les désinfectants pour les mains à base d'alcool et ne provoquent pas d'irritation lorsqu'ils sont utilisés régulièrement.
De décembre 2020 à janvier 2021, Initial Hygiène a effectué une étude dans 26 pays portant sur l'utilisation des désinfectants pour les mains dans les espaces publiques. Pour neuf personnes sur dix (87 %), le produit de désinfection des mains joue un rôle essentiel dans la prévention contre la propagation des virus.
Près de la moitié des personnes interrogées (52 %) étaient satisfaites des désinfectants pour les mains, mais les 48 % restant regrettaient :
L'une des questions les plus intéressantes de l'enquête était de savoir si les personnes interrogées faisaient confiance aux autres pour suivre les directives pendant la pandémie.
La confiance sociale est essentielle. Nous voulons croire que la plupart des gens essaient d'aider les autres plutôt que de préserver leurs propres intérêts. Mais de nombreux évènements récents sont venus remettre en question ces croyances. Sans surprise, les personnes interrogées pensent que seulement la moitié des utilisateurs d'un espace public se désinfectent les mains lorsqu'ils y pénètrent.
Et cela peut bien entendu poser un problème ! Une entreprise doit-elle informer ses clients et employés sur les bienfaits d'une bonne hygiène des mains ? Un article récemment publié dans Forbes suggère que l'hygiène, et pas uniquement la propreté, est devenue notre nouvelle définition de la sécurité. En rassurant visuellement ses consommateurs et employés, une marque montre ainsi qu'elle fait passer son personnel avant tout.
Les produits de désinfection des mains disposés aux entrées et sorties d'un bâtiment, dans les sanitaires et dans d'autres espaces fortement fréquentés vont permettre de stopper la propagation des germes et d'encourager un meilleur comportement au sein du personnel. Il est donc de la responsabilité de chaque employé de mesurer l'impact d'une bonne hygiène des mains sur ses collègues.
Pour en savoir plus sur les solutions et services sur-mesure, n’hésitez pas à contacter Initial Hygiène, votre spécialiste de l’hygiène des sanitaires, au +33 1 76 36 04 59.